< Retour à la page d’accueil blog

 

Comment es-tu arrivé sur ce projet ?

A la base j’ai fait une formation de géomaticien. Tout ce qui est information, base de données et autres avec de la géographie. On utilise des informations géographiques, des points, des lignes, des polygones, et après on peut en faire tout ce qu’on veut. Je cherchais un domaine où utiliser mes compétences. Finalement, j’ai vu qu’AptiSkills proposait des offres, et Aptis m’a trouvé une mission dans la fibre optique chez Constructel. J’ai commencé le 18 novembre 2019, il y a donc un peu plus d’un an. J’ai commencé en tant que dessinateur projeteur puis j’ai évolué, j’ai désormais plusieurs personnes sous ma responsabilité. On m’a engagé au commencement du projet, ce qui était intéressant. J’ai proposé un mode opératoire à mettre en place pour mes premières tâches et j’ai appris le reste au fur et à mesure.

 

 

Comment se passent tes missions au quotidien ?

Je suis principalement au bureau. Dans la fibre optique, il y a plusieurs étapes, et plusieurs étapes de rendu. Au début on va relever sur les boites aux lettres le nombre de prises dans chaque bâtiment. Ensuite à partir de ça on fait une première étude, une APS (avant-projet sommaire): une couche où on va voir justement où poser les boitiers, près des habitations et comment y arriver depuis les Nro.

On va voir avec les câbles par où ils passent, quels fourreaux on va utiliser, sur quelle chambre on va s’arrêter etc. C’est déjà une première étude. On fait ça avec parfois quelques données un peu biaisées, on a aucun relevé terrain pour l’instant. A part l’emplacement où on va poser l’armoire de rue qui sert à alimenter entre 300 à 600 habitations.

Une fois la première étude validée, on se rend sur place et des gens regardent pour nous dire par quelle voie on peut passer. On envoie des plans pour leur indiquer quoi mesurer sur le terrain. Si c’est par un poteau aérien, par une chambre souterraine etc. S’il n’y a pas de blocage, parfois il y a des travaux à faire. Des sections sont encombrées et il nous manque le passage, on va étudier tout ça et faire une étude en parallèle. On a plein de rendus à faire pour ensuite passer ensuite à une étude définitive. Ça c’est notre objectif.

Ce qu’on fait à côté, c’est gérer les sous-traitants, vu qu’on ne fait pas encore tout nous-mêmes. A la toute fin quand tout aura été validé, on fera des plans tirages pour aller tirer les câbles, poser les différents boîtiers pour qu’ensuite les opérateurs télécom raccordent les habitations.

 

Comment la crise sanitaire a impacté ton quotidien ?

Durant le 1er confinement j’étais malheureusement en chômage partiel. J’ai arrêté fin mars et je suis revenu mi-mai. Le 2ème confinement j’étais en télétravail pendant plusieurs semaines. Aujourd’hui, cela n’impacte plus notre travail, nous sommes tous présents au bureau d’études.

 

Comment se passe ta relation avec ton Ingénieur d’affaires ?

On se voyait plus souvent au temps où les restaurants étaient ouverts. On s’appelle toujours très régulièrement.  On s’est toujours très bien entendu. On s’appelle même parfois à des heures en dehors du travail. On s’entend vraiment bien, ça s’est toujours bien passé.